Euptus (プリトス Puritosu) est un personnage qui apparaît dans Breath of the Wild.
Description[]
Euptus se promène autour de la muraille d'Elimith et l'admire ; il connaît bien l'histoire de la muraille d'Elimith et crie sur Link s'il ne montre pas d'intérêt à l'apprendre ; il parle de l'histoire d'un guerrier qui a défendu la muraille contre les Gardiens qui l'ont attaqué.
Euptus affirme que personne ne sait vraiment ce qui est arrivé au guerrier, certains pensant qu'il a donné sa vie ce jour-là, mais d'autres pensant qu'il s'est endormi profondément pour se préparer à combattre un autre jour. Euptus parle bien sûr de Link, qui a perdu la vie pendant la bataille de la muraille d'Elimith et qui a ensuite été emmené au sanctuaire de la Renaissance.
Euptus explique que la bataille de la muraille d'Elimith était la dernière ligne de défense et que si les soldats avaient perdu, le village d'Elimith n'existerait plus. Il est ému de voir tous les Gardiens tombés au combat devant la muraille.
Euptus est tellement passionné par l'histoire de la muraille d'Elimith qu'il estime qu'il est de son devoir de transmettre ce savoir aux générations futures, afin qu'elles connaissent l'histoire du guerrier et le sacrifice qui a été fait il y a 100 ans. Euptus imagine souvent ce qu'il aurait fait s'il avait été là pendant le Grand Fléau. Il aime à penser qu'il aurait combattu aux côtés du guerrier.
Euptus est présent aux abords de la muraille jour et nuit et change de cycle toutes les six heures. De 22 heures à 6 heures du matin, Euptus peut être vu assis sous un arbre près du petit feu à l'est de la muraille et s'endort lorsque Link n'est pas à proximité. Il s'endort en récitant une prière pour le guerrier et ses troupes qui se sont battus si vaillamment. À 6 heures du matin, il se lève et marche jusqu'au côté Ouest du fort, l'admirant de ce point de vue. Après 14 heures, Euptus revient et se tient à l'Est du fort, où il reste jusqu'à 22 heures, avant de retourner au feu de camp. Euptus respecte cet horaire, même s'il se met à pleuvoir. Quand il pleut, il se dit que sa vie n'est possible que grâce à ceux qui se sont battus avant lui. Cette pensée lui fait monter une larme à l'œil, même si ce n'est peut-être que la pluie.